En marge de la beat generation, Jack Spicer, poète météore mort à 40 ans de son alcoolisme, s’inscrit dans le sillage de Rimbaud par sa quête de l’impossible et son écriture ravageuse. Il reste aujourd’hui encore un objet de fascination pour ses lecteurs fervents.
À lire – Jack Spicer, C’est mon vocabulaire qui m’a fait ça, Le Bleu du Ciel, 2006.
À écouter – Kat Onoma, « Billy The Kid », Dernière Bande, 2003.
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